Les menstruations sont un processus naturel. Pourtant, pour de nombreuses personnes, elles constituent un rappel brutal des inégalités.
En Afrique du Sud, les conséquences de la précarité menstruelle sont flagrantes : 30 % des personnes qui ont leurs règles s’absentent de l’école ou du travail chaque mois, marginalisées par le manque d’accès aux produits menstruels.
Notre mission est claire : changer la donne. En produisant et en distribuant des culottes menstruelles durables et en proposant une éducation menstruelle, nous collaborons avec les communautés pour partager des ressources et des connaissances, soutenant ainsi le droit de chacun à la santé menstruelle.
Nous recherchons des partenaires pour nous aider à financer cette mission et à étendre son impact. Rejoignez-nous ? Veuillez nous contacter à l'adresse hello@weareamani.com
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La pauvreté menstruelle en Afrique du Sud
En Afrique du Sud, la précarité menstruelle reste un problème majeur, de nombreuses personnes n’ayant pas accès aux produits d’hygiène menstruelle essentiels. Ce manque d’accès a de profondes répercussions, affectant l’éducation, la présence au travail et le bien-être général.
À ce jour, 7 millions de femmes sud-africaines ayant leurs règles n’ont pas accès aux produits d’hygiène ou ne peuvent pas se les permettre. L’accès aux produits d’hygiène, à un traitement digne et à l’éducation sur la gestion de la santé menstruelle est une question fondamentale de droits humains. Bien que ces statistiques soient profondément troublantes, elles illustrent la réalité de la précarité menstruelle en Afrique du Sud.
Ce défi va au-delà de la santé ou de la commodité ; il s’agit d’une violation des droits humains qui amplifie les inégalités existantes, entraînant une détresse physique, émotionnelle et mentale et perpétuant les stigmates associés aux menstruations.
Au-delà de l’impact personnel immédiat, l’utilisation généralisée de protections menstruelles à usage unique contribue aux préoccupations environnementales. Ces produits jetables, souvent non biodégradables, finissent dans les décharges, aggravant la pollution et la dégradation de l’environnement. Les répercussions sociales et environnementales combinées soulignent l’urgence de s’attaquer à la précarité menstruelle et de promouvoir des solutions menstruelles durables.
Les sous-vêtements menstruels Amani visent à responsabiliser les individus en renforçant le message selon lequel il n'y a pas de honte à avoir des menstruations.